Des traces de sang intactes ?
Lorsqu’on analyse les traces de sang sur le linceul, on remarque qu’il n’y a aucun signe d’arrachement. Tout se passe comme si le corps avait disparu de manière inexpliquée, comme s’il s’était dématérialisé.
Le scientifique Arnaud Aaron Upinsky, mathématicien, épistémologue, linguiste, expert en systèmes logiques et historien des sciences, la référence mondiale de l’épistémologie du linceul de Turin, dit à ce propos :
« Le linceul de Turin est la seule pièce archéologique à receler un signe de contradiction scientifique non explicable par la science la plus puissante de tous les temps, celui de l’Impression-Retrait-Sans-Contact (IRSC) du cadavre du linceul. Le corps a laissé son image sans contact et a interrompu son contact avec le linge et son sang, sans la moindre altération des décalques, et sans le moindre arrachement des fibrilles du lin et des fibrines du sang ! Ce fait n’est contesté par personne. »
Bilan :
L’impression-Retrait-Sans-Contact (IRSC) ne peut être expliqué rationnellement, sauf si on relie ce phénomène à la résurrection du Christ !
– Arnaud Aaron Upinsky
1 commentaire
Parce
22 avril 2019
Je me demande si l’épaisseur de la couche d’onguents déposée sur le corps, ne favoriserait pas en humidifiant et ramollissant les croutes des blessures le fait qu’il n’y ait pas de brindilles de tissu arrachée?
Pour avoir eu à soigner des blessures avec des pansements gras et d’autres non . Je me rappelle que celles recouvertes de crème grasse ne collaient pas au pansement. Ceci n’exclu pas l’idée du flash de la résurrection.
Ecrire un commentaire :